Il est 15h sur votre horloge, vous vous levez de votre bureau et vous vous dirigez automatiquement vers la machine à café, la machine distributrice de boissons gazeuses et énergisantes ou vous ne rêvez qu’à croquer dans une collation sucrée? Quand une nuit de sommeil n’est pas suffisante, il faut penseroptimiser ses habitudes de vie pour favoriser une bonne vitalité. L’alimentation fait partie de ces bonnes habitudes à considérer…
Pour bien fonctionner, notre organisme a besoin d’eau
La moitié de notre poids en livres est la quantité d’onces d’eau à consommer par jour pour combler nos pertes. Toutes boissons diurétiques et salées exclues. Pensez à y ajouter des fruits frais ou des tisanes nourrissantes. Continue reading


Le temps des fêtes est souvent la période où les excès de table font partie du quotidien. Le plaisir est présent sur le coup, mais disparaît aussitôt que les reflux, les indigestions ou la gueule de bois apparaissent.
Dans l’article précédent, nous avons vu que le stress gruge l’énergie qui devait être utilisée aux fonctions digestives et autres fonctions. Avec le rythme effréné du quotidien, l’alimentation industrialisée et les additifs alimentaires, notre flore intestinale peut parfois se retrouver dans un mauvais état. Prenez soin de votre santé intestinale, corrigez vos intolérances alimentaires, soignez la constipation ou la diarrhée, éliminez les ballonnements, diminuez les flatulences, préserver vos intestins des inflammations, car c’est là où se forment ou se stockent certains neurotransmetteurs qui vous aideront à garder la bonne humeur ou à vous préserver du stress. C’est donc dire que plus votre tube digestif est en bon état, plus vous absorbez les bons nutriments, plus vous fabriquez de bons neurotransmetteurs et meilleur sera votre équilibre nerveux.
À l’époque de l’Homme des Cavernes, le stress permettait de mettre en branle les mécanismes nécessaires pour fuir un danger ou pour attaquer le mammouth. Pour se faire l’organisme envoyait l’énergie aux mécanismes de fuir ou d’attaque et privait toutes les autres fonctions de l’énergie, que ce soit dormir, digérer ou aller à la selle. Le stress était vécu de façon ponctuelle et pour survivre.
Procrastiner, c’est cette tendance à tout remettre à demain. Demain quand les enfants seront grands, quand on aura fini nos études, quand on aura guéri cette blessure d’amour-propre infligé par nos parents quand on était petit et qu’ils étaient inconscients.