NOTRE DILEMME Certaines étapes de vie nous obligent à nous arrêter. Des questions surgissent sans même avoir été sollicitées. Le mental, cet AS DU CAMOUFLAGE, fait semblant d’y répondre. Mais que peut-il faire lui qui a pour rôle d’étouffer nos émotions et de nous garder dans le tourment de nos fantasmes ?

    LE CRAYON ET LA SOURIS, NOS FAUX AMIS Prendre un crayon, cocher des cases, essayer de se coller à des modèles, faire des listes de POUR et CONTRE ? S’engager dans des joutes intellectuelles avec notre entourage ou notre thérapeute = pure perte de temps, d’énergie et d’argent. Notre mental rationnalisera, justifiera, expliquera mais nous laissera sans réponses.

Alors comment s’y prendre pour :

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Suivez le poulet

Quand vous ingurgitez un sandwich poulet-crudités, des capteurs situés dans l’œsophage, dans l’estomac (séjour d’environ 3 heures, 4 à 5 heures si vous humidifiez votre gosier avec autre chose que de l’eau) et dans l’intestin grêle, alertent votre cerveau pour lui donner le signal de la satiété.

Une petite parenthèse

À ce stade, le rôle du thalamus est à observer dans le cas de stress post-traumatique. Autour d’un bon couscous, une amie me disait récemment apprécier un bon châteaubriant alors qu’elle éprouve de la répulsion à la vue d’une côte de bœuf. Dans son cas, le thalamus et l’amygdale limbique ont enregistré une émotion stressante associée à l’image d’une côte de bœuf.

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