Qui n’a pas, une fois dans sa vie, été confronté au « Manque » ? Cette période d’insatisfaction intense où on perçoit un sentiment d’incomplétude et d’insatisfaction. Pour certains, être dans cette période, c’est un peu comme la fin du monde. Les solutions n’apparaissent pas clairement, et même si elles apparaissent, juste d’y penser c’est très lourd. Notre petit hamster s’emballe et ça nous rend très inquiets et malheureux. S’en suit une période de manque de confiance pour certains, de colère et de rage pour d’autres, ou encore d’envie et de comparaison avec les autres autour de nous qui semblent avoir la vie très facile – eux.
La spirale
Être plongé dans ce genre d’expérience est une spirale qui peut devenir très dangereuse. Dangereuse surtout quand nous ne comprenons pas sainement ce qu’il se passe en réalité. Quand j’écris « réalité » ici, je fais référence à ce qui se passe dans le corps, dans les émotions, dans le mental, dans les pensées et dans votre énergie, et dans l’interrelation de ceux-ci avec le monde extérieur. L’effet de ce genre de comportement résulte en stress, mauvais sommeil, « burnout », dépression, anxiété, réactions impulsives, séparation, et j’en passe.


D’après certaines recherches, les animaux ont une plus grande sensibilité à la réception de vibrations, ceci leur permettant une plus grande facilité à communiquer entre eux. Les vibrations de message en répétition sont bien captées par les animaux, créant ainsi un renforcement positifqui stimule le changement comportemental.
En partant, le sujet est tabou. Comme on en parle peu, la plupart des gens ignorent qu’il y a des personnes comme moi, qui choisissent d’accompagner les malades et leurs proches à ce moment significatif de leur parcours.
Au nombre de cinq, les blessures émotionnelles sont des sentiments d’une intensité telle qu’elles se révèlent des sources de souffrance morale très aigüe et des plus déstabilisantes. Quand elles sont activées, on est presque littéralement jeté par terre ou, comme le veut l’expression consacrée, c’est comme si un bulldozer nous avait passé sur le corps. 
