Ce n’est pas nouveau depuis environ 10 ans les entreprises de Biotechnologies du Québec ont de la difficulté à joindre les deux bouts. Bien sûr à cause des crashs boursiers, mais aussi parce que ces compagnies travaillent beaucoup dans la recherche de principes actifs et d’effets prometteurs avec des produits de source naturelle. Même si elles sont largement subventionnées par des organismes affiliés au gouvernement du Québec ou du Canada, le problème est qu’elles ne trouvent plus preneur pour leurs produits dérivés souvent à cause de ces mêmes gouvernements qui les financent.