Aujourd’hui, les chercheurs en neurosciences, n’hésitent plus à traquer la tristesse, la joie ou l’amour dans les méandres du cerveau.
Tenter de comprendre comment nos petits neurones produisent de si belles choses, ou de si vilaines, c’est s’interroger non seulement sur notre nature, mais également sur les fondements mêmes de la culture humaine.